Monsieur Poumon, Nutrition et Microbiote
Notre microbiote, dans cette histoire n’est pas en reste ! Le gros intestin est l’habitat d’une foultitude d’organismes concourant à notre santé et notre adaptabilité sur Terre, voire même à la richesse de notre ADN.
Les locataires de notre habitacle digestif, représentent un reflet intériorisé, une sorte de « peau retroussée » du monde environnant. Que dis-je, du monde tout court, depuis que les voyages drainent avec les voyageurs transcontinentaux, les multiples bactéries qui règnent sur Terre.
Ces minuscules habitants que sont bactéries, microbes, virus et souches cellulaires de toutes sortes se retrouvent normalement à l’état inoffensif en nous. Car normalement, dans une vie relativement saine, nous les avons progressivement, aux rythmes de nos « rencontres », soumis aux lois internes de nos organismes. En les accueillant, nous les avons domestiqués ou rejetés suivant qu’ils sont une richesse pour notre adaptabilité ou un danger. Tout ce petit monde interne se doit, pour notre homéostasie (=notre équilibre de santé), de sociabiliser et nous permettre d’élaborer un équilibre fonctionnel.
Le Poumon en est un des grands bénéficiaires car si notre microbiote va bien, point de mucosités, glaires et compagnie… que du bonheur respiratoire et phonatoire.
Et comme l’état du Poumon se lit à la qualité de la peau et des poils, selon la médecine chinoise, une belle peau est souvent l’apanage d’un être bien oxygéné et qui nourrit convenablement son microbiote.
Inutile donc d’imaginer que se nourrir n’est qu’une question de carburant. Il faut prendre en considération tout ce qui va nous permettre de respecter les fonctions internes :
➔ Avoir des vaisseaux sanguins et capillaires qui transportent des nutriments de qualité et non du sucre sous toutes ses formes (alcools, sodas, céréales, laitages, bonbons et chocolats etc.…), des éléments trop acides qui nous affaibliraient à la venue des grands froids, des aliments pauvres en nutriments qui sont pris sur le bord d’un comptoir, à toutes vitesse et qui alimentent notre stress ou nos cellules graisseuses mais pas notre vitalité.
Il nous faut nous souvenir que ce n’est pas seulement dans le ventre maternel que nous évoluons et fabriquons notre « matière humaine ». Toutes les cellules de tous nos tissus meurent et se refabriquent en permanence jusqu’à la tombe. En fait nous pouvons ralentir le vieillissement et l’usure, chaque jour en nous nourrissant avec de la vitalité alimentaire, une oxygénation juste et des conditions de vie les plus équilibrées possibles.
Pensons aux bons gras des huiles vierges de première pression, et aux omégas des huiles de poissons, aux oligoéléments, aux minéraux et vitamines de qualité, à boire régulièrement et plutôt à température ou chaud en évitant à l’automne, le froid qui affaiblit nos fonctions.
Pensons à agrémenter notre nourriture de certaines épices comme le gingembre ou la cannelle lorsqu’on sent du froid nous envahir et de la menthe ou du thé vert lorsque nous avons trop chaud.
Un thérapeute énergéticien pourra vous aider à rééquilibrer les organes en déficience ou en plénitude et à soutenir vos fonctions hypo ou hyper par le choix de plantes, minéraux, oligo, vitamines appropriées pour passer ces mois de froid, humidité, grisailles de façon à ne pas déprimer ou tomber malade. Votre « Maître de l’énergie » vous en sera reconnaissant.
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